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Apple déclare qu'il préfèrerait retirer iMessage et FaceTime du Royaume-Uni plutôt que de briser leur chiffrement,
Comme pourrait l'exiger la loi britannique sur les pouvoirs d'investigation

Le , par Mathis Lucas

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5  0 
Apple rejoint l'opposition grandissante à la mise à jour de la loi britannique sur les pouvoirs d'investigation (Investigatory Powers Act, IPA) de 2016. La proposition exigerait des services de messagerie qu'ils soumettent au ministère britannique de l'Intérieur (Home Office) les nouvelles fonctions de sécurité avant qu'elles ne soient déployées. Elle donnerait également le pouvoir au ministère de l'Intérieur d'exiger en privé que les fonctions de sécurité soient désactivées, sans en informer le public. Apple se dit contre la proposition et menace de fermer l'accès local à ses services de messagerie chiffrés de bout en bout, notamment FaceTime et iMessage, si elle est adoptée.

La liste des services Internet grand public susceptibles d'être fermés au Royaume-Uni en raison des risques de sécurité liés à l'élaboration de politiques de surveillance de masse continue à s'allonger. WhatsApp et Signal s'opposent farouchement depuis plusieurs mois au projet de loi britannique sur la sécurité en ligne (Online Safety Bill) et tous deux ont annoncé leur intention de se retirer du marché britannique s'il est adopté. Le projet de loi menace le chiffrement de bout en bout et WhatsApp et Signal affirment qu'ils ne compromettraient pas leurs services de messagerie, car des millions de personnes les utilisent pour communiquer en toute sécurité chaque jour.

En ce qui concerne l'avertissement d'Apple, la cible est l'initiative du gouvernement britannique visant à étendre les pouvoirs de surveillance numérique dont disposent les agences de renseignement de l'État. Le mois dernier, le ministère britannique de l'Intérieur a annoncé une consultation publique sur les modifications à apporter à un régime d'avis qui peuvent être émis aux fournisseurs de services de communication pour conserver ou intercepter les données des utilisateurs en vertu de la loi de 2016 sur les pouvoirs d'investigation (Investigatory Powers Act - IPA). La proposition introduit plusieurs amendements très controversés par les entreprises.


Parmi les changements proposés par les ministres britanniques figure l'obligation pour les services de messagerie de vérifier les nouveaux dispositifs de sécurité auprès du ministère de l'Intérieur avant de les diffuser. Ils devraient également agir "immédiatement" en cas de demande de désactivation des dispositifs de sécurité, au lieu d'attendre, comme c'est le cas actuellement, que la demande ait été examinée et/ou que l'entreprise ait fait appel. Le ministère estime que tout ceci est nécessaire, car les nouvelles technologies risquent d'entraver les capacités des organismes chargés de l'application de la loi et des services de renseignement britanniques.

« Dans l'état actuel des choses, au cours d'une période d'examen, l'opérateur n'est pas tenu de se conformer à l'avis, dans la mesure où il y est fait référence, jusqu'à ce que le secrétaire d'État ait conclu l'examen. Lorsqu'un opérateur cherche à apporter des modifications à son système et qu'elles pourraient avoir un effet préjudiciable sur une capacité d'accès légal actuelle, cela pourrait créer un déficit de capacité pendant la période d'examen, ce qui est un problème qui, selon nous, devrait être résolu », explique le document de consultation. Les arguments évoqués ici sont similaires à ceux évoqués pour défendre le projet de loi sur la sécurité en ligne.

Toutefois, le ministère affirme aussi qu'il s'engage à travailler avec l'industrie et les autres parties prenantes concernées pour élaborer des propositions raisonnables qui permettront aux entreprises et aux gouvernements de continuer à protéger le public et sa vie privée, à défendre la cybersécurité et les droits de l'homme, et à soutenir l'innovation technologique. Mais face à une éventuelle législation qui obligerait les services de messagerie à proposer des portes dérobées dans le chiffrement de bout en bout, Apple a déclaré à la BBC qu'il préférerait retirer entièrement du marché britannique les applications de communication comme iMessage et FaceTime.

iMessage et FaceTime sont chiffrées de bout en bout, ce qui signifie qu'Apple ne peut pas accéder au contenu des messages, même s'il en reçoit l'ordre d'un juge. Mais la proposition donnerait au ministère de l'Intérieur le pouvoir d'exiger que les services suppriment le chiffrement, et donc d'accéder aux informations contenues dans les futurs messages. Apple s'est toujours opposée à l'IPA et la loi est qualifiée de "charte du fouineur" par ses détracteurs. Dans le cadre de la consultation publique, la firme de Cupertino a soumis un document de neuf pages et s'oppose formellement aux amendements. Le document contient les déclarations suivantes :

  • Apple n'apporterait pas de modifications aux dispositifs de sécurité spécifiquement pour un pays, ce qui affaiblirait un produit pour tous les utilisateurs ;
  • certains changements nécessiteraient la publication d'une mise à jour du logiciel et ne pourraient donc pas être effectués secrètement ;
  • les propositions constituent une menace sérieuse et directe pour la sécurité des données et la confidentialité des informations ;
  • ces changements affecteraient également les personnes en dehors du Royaume-Uni.


Le professeur Alan Woodward, expert en cybersécurité de l'université de Surrey, en Angleterre, a déclaré qu'il était peu probable que les entreprises technologiques acceptent les nouvelles propositions. « Le gouvernement fait preuve d'un certain degré d'arrogance et d'ignorance s'il pense que certaines des plus grandes entreprises se conformeront aux nouvelles exigences sans se battre », a-t-il déclaré. Face à l'opposition des entreprises, un porte-parole du ministère britannique de l'Intérieur a partagé avec les médias la déclaration suivante, qui indique qu'aucune décision sur la façon d'actualiser les pouvoirs n'a été prise à ce jour :

Le premier travail du gouvernement est d'assurer la sécurité du pays et les pouvoirs d'investigation sont un outil essentiel pour protéger nos citoyens. La loi de 2016 sur les pouvoirs d'investigation est conçue pour protéger le public des criminels, des abuseurs sexuels d'enfants et des terroristes. Grâce à un contrôle indépendant rigoureux, la loi réglemente l'utilisation des pouvoirs d'enquête intrusifs par les autorités publiques. Nous réexaminons régulièrement l'ensemble de la législation pour nous assurer qu'elle est aussi solide que possible et cette consultation fait partie de ce processus - aucune décision n'a encore été prise.
Par ailleurs, il est difficile de juger de la sincérité de cette menace d'Apple cernant ses services. iMessage (sans parler de la "honte de la bulle verte" que représente le fait de rejoindre un groupe de discussion iMessage à partir d'un téléphone Android) est une arme précieuse pour attirer les utilisateurs de téléphones dans le jardin clos d'iOS, et FaceTime est presque aussi populaire. Le retrait de ces produits clés entraverait sans doute la progression d'Apple sur un marché important, mais la société pourrait considérer qu'il s'agit d'un sacrifice à faire pour éviter ce qu'elle considère comme une entrave à la sécurité de ses produits sur tous les marchés.

En plus de Signal, WhatsApp et Apple, l'encyclopédie en ligne Wikipédia est une autre critique de premier plan des dernières propositions du Royaume-Unis en matière de sécurité en ligne. Wikipédia aussi a laissé entendre qu'elle pourrait quitter le Royaume-Uni si le gouvernement ne revoyait pas son approche. L'inquiétude de Wikipédia se concentre sur les mesures relatives au contrôle de l'âge et à la censure du contenu (soi-disant pour la protection des enfants). Jimmy Wales, créateur de Wikipédia, estime que ces propositions sont "mauvaises pour les droits de l'homme", "mauvaises pour la sécurité sur Internet" et simplement "mauvaises pour la loi".

De toute évidence, Apple et les autres espèrent que le gouvernement révisera la législation en tenant compte des critiques. Apple a abandonné son propre projet visant à analyser les sauvegardes sur iCloud Photos à la recherche d'images d'abus sexuels sur enfant (CSAM), à la suite de l'opposition des clients et des groupes de défense des droits de l'homme. Selon les experts, la solution d'Apple était plus respectueuse de la vie privée que celle proposée aujourd'hui par le gouvernement britannique.

Source : Investigatory Powers Act

Et vous ?

Quel est votre avis sur les propositions du gouvernement britannique ?
Que pensez-vous de la menace d'Apple de retirer iMessage et FaceTime du Royaume-Uni ?
Pensez-vous que l'entreprise mettrait sa menace à exécution si le projet de loi venait à être adopté ?

Voir aussi

Signal déclare qu'il ne se conformera pas à la proposition de loi britannique sur la « surveillance de masse », exigeant l'analyse obligatoire des messages avant le chiffrement

Apple se joint à l'opposition contre le projet de loi britannique visant à affaiblir le chiffrement pour permettre aux forces de l'ordre de lutter contre la pédopornographie

Le directeur de WhatsApp déclare qu'il ne supprimera pas le chiffrement de bout en bout au profit de la loi britannique sur la sécurité en ligne et que la société quittera le pays si elle est votée

Apple met fin à son projet controversé visant à analyser les sauvegardes sur iCloud Photos à la recherche d'images d'abus sexuels sur enfant, après les critiques virulentes des experts en sécurité

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Avatar de Prox_13
Membre éprouvé https://www.developpez.com
Le 05/10/2023 à 11:25
Ouiiii ouiiii, évidemment. C'est pour les enfants, c'est ça? Comme les fois d'avant? Ils nous prennent vraiment pour des bons.
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Avatar de Jon Shannow
Membre extrêmement actif https://www.developpez.com
Le 12/10/2023 à 14:27
Citation Envoyé par petitours Voir le message
Je fais partie de ces gens là et pourtant j'ai pleinement conscience du sujet.
1) Nos échanges privés sont déjà copieusement scrutés, pas par une organisation démocratique sous le contrôle d'élus qui changent régulièrement mais par des entreprises privées à but très lucratif.
2) Qu'est ce que j'en ai à faire que cette organisation publique scrute mes échanges ? Entre les nouvelles que je donne à ma famille et les mots doux que j’envoie à madame, rien qui ne soit pas diffusé largement sur d'autres canaux non informatiques
3) Rien empêche de chiffrer ce qui est réellement à chiffrer (et pas via les outils des plateformes gratuites à but lucratif...)
4) Le chiffrement privé servant à rien c'est une dépense énergétique et environnementale dont on doit se passer
5) Tant mieux si ça permet de stopper quelques pédophiles. Récemment le déchiffrement de communications a permis de stopper un réseau de trafic d'arme et de drogue en France, ça aurait été idiot de s'en priver pour protéger le récit du petit fils Paul qui a fait ses premiers pas dans le jardin.
Désolé de ne pas être d'accord avec toi. Certes, ce que tu dis est juste.
Toutefois, j'émettrais les réserves suivantes.
1) Si tu envoies des photos de tes enfants en maillot de bain à tes parents ou beaux-parents, seras-tu content de voir les flics débarqués avec un mandat de perquisition chez toi, et toi et ta femme embarqués pour pédophilie ?
2) Si les enquêteurs veulent déchiffrer des conversations, qu'ils demandent aux juges de leur délivrer une autorisation. Autorisation qui exigera qu'une enquête prouve qu'il y a un risque potentiel.
3) Si le chiffrement est interdit, tu ne pourras pas chiffrer ce qui est réellement à chiffrer.
4) Quelles garanties avons-nous que nos discussions ne soient utilisées contre nous à un quelconque moment. Ex. Mettons que Jean et Paul discutent politique, Paul critiquant telle ou telle loi. Et, voilà que le fils de Paul se voit refuser une bourse, une entrée en université, ... que sais-je encore. Évidemment, officiellement ça n'aura aucun lien, mais en réalité ?

En bref, je dirais que la porte ouverte à toutes les fenêtres... Et une fois ouverte, pas facile de les refermer. Et, ça, c'est en supposant que l'on reste dans un pays "démocratique" (ce qu'il est de moins en moins), imaginons une seconde le pays basculant dans un état plus... dictatorial.
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Avatar de Jules34
Membre expérimenté https://www.developpez.com
Le 23/04/2024 à 11:41
Je vois que qu'effectivement c'est toujours dans les tuyaux...

Décidément l'Europe c'est vraiment pas l'amour des peuples et des nations, c'est bel et bien l'antichambre du quatrième Reich.

Et dire qu'ils sont aussi en train de pousser à la création d'un état européen pour définitivement nous spolier des états nations, on sera vraiment tout nus si ils arrivent à passer ça.
7  0 
Avatar de kain_tn
Expert éminent https://www.developpez.com
Le 14/08/2023 à 18:03
Citation Envoyé par Bruno Voir le message
Comment le Royaume-Uni peut-il protéger les enfants en ligne, si les géants de la tech veulent protéger leurs profits ?
Personne ne veut protéger les enfants: ni le Royaume Uni, ni les Big Techs.

Les Big Techs pensent à leur profit, et le Royaume Uni pense à fliquer ses habitants - c'est déjà en grande partie le cas avec toutes les caméras partout, mais là on passe un autre cap.

Le thème des enfants, c'est juste une excuse parce que personne ne peut être contre la protection des enfants.

Mais comme ça devient un peu lassant, à la longue, voici un certain nombre de thèmes alternatifs pour nos amis du Royaume Uni, des fois qu'ils voudraient changer un peu d'alibis pour faire passer leurs lois liberticides:
  • Affaiblir le chiffrement pour lutter contre le réchauffement climatique, parce que ça économise des cycles de calcul
  • Affaiblir le chiffrement pour faire des économies d'énergies, parce qu'il n'y a plus de courant pour tout le monde, ma bonne dame
  • Affaiblir le chiffrement pour lutter contre la discrimination et pour être inclusifs: pensez à tous ces pauvres protocoles non-chiffrés, discriminés de manière injuste à cause de leur nature
  • Affaiblir le chiffrement pour protéger les fleurs, parce... pourquoi pas ça aussi.


Non, sérieusement, on parle d'un pays qui a des histoires sordides de pédophilie comme l'abus des orphelins des îles Jersey par des personnalités médiatiques, des politiciens et des gens de la noblesse, et qui continue à cacher/essayer d'étouffer ces histoires jusqu'à aujourd'hui...

Citation Envoyé par Bruno Voir le message
Quels sont les risques pour les enfants si le chiffrement des messages n’est pas régulé ?
Euh... Non. La bonne question est "quels sont les risques pour les enfants et pour tout le monde, si le chiffrement est affaiblit". Et la réponse est toute simple: tout le monde pourra intercepter les communications de tout le monde. Fini, les possibilités de lancer des alertes sans être inquiété. Bonjour 1984.

Il n'y aura même plus besoin d'airtags pour les prédateurs/harceleurs: tout sera en clair. Pratique, non? Mais c'est pour la sécurité des enfants, on vous dit!

Citation Envoyé par Bruno Voir le message
Quelles sont les alternatives possibles pour concilier la sécurité en ligne et la sécurité des enfants ?
Bon, pour commencer, j'en remets une couche moi aussi, avec des sujets qui n'ont pas de relations non plus. Quoique...

  • Quelles sont les alternatives possibles pour concilier la sécurité en ligne et la la lutte contre le réchauffement climatique ?
  • Quelles sont les alternatives possibles pour concilier la sécurité en ligne et les économies d'énergie ?
  • Quelles sont les alternatives possibles pour concilier la sécurité en ligne et la lutte contre les discriminations ?
  • Quelles sont les alternatives possibles pour concilier la sécurité en ligne et la protection des fleurs ?


Euh... Pour commencer, ne pas toucher au chiffrement. Laisser les parents éloigner leurs enfants de ces cochonneries de médias sociaux. Mettre en avant les liens entre certaines personnes très haut-placées et des réseaux de pédophilie (qui a dit Epstein?).
6  0 
Avatar de OrthodoxWindows
Membre émérite https://www.developpez.com
Le 05/10/2023 à 19:40
Citation Envoyé par TotoParis Voir le message
Le sujet est très délicat en termes de vie privée, de libertés publiques, oui.
Mais les enculeurs de nourrissons doivent être attrapés et sanctionnés, aussi.
Ça tombe bien, les enculeurs de nourrissons opèrent dans le monde analogique. Le monde numérique est encore moins coupable qu'une camionnette servant à kidnapper un enfant. Pourtant, personne en pense à installer une caméra dans une camionnette, alors que c'est un outils finalement plus plus dangereux qu'un ordinateur.
6  0 
Avatar de Jon Shannow
Membre extrêmement actif https://www.developpez.com
Le 07/10/2023 à 18:36
Citation Envoyé par TotoParis Voir le message
Les enculeurs de nourrissons sont sur le (dark) web, et y diffusent leurs exploits, et ils se font attraper, et c'est tant mieux.
Curieux que personne ici ne saisisse l'horreur de ces pratiques...
Et le dark web n'est pas concerné par ce que demande Europol. Par contre nos vies personnelles, elles sont directement concernées.
Cette demande, sous couvert de protéger des enfants, n'a pour but que de fliquer le plus grand monde. C'est une peu le coefficient social chinois. Aujourd'hui, on va faire comme si c'était pour traquer les pédophiles, demain on parlera des terroristes, puis des activistes, puis des personnes qui ne votent pas bien...

L'écran de fumée est connu, archi-connu.

C'est étonnant que certains arrivent encore à s'y faire prendre.
6  0 
Avatar de mith06
Membre expérimenté https://www.developpez.com
Le 11/10/2023 à 11:04
La plus part des gens avec j'en parle ne voient pas de problème à ce que tous leur messages privés soient scanné...
On a la politique que l'on mérite...
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Avatar de seedbarrett
Membre éclairé https://www.developpez.com
Le 12/10/2023 à 17:48
J'ai hate que leur système à la con sois piraté et que l'intégralité des mais de TOUS LES EUROPEENS se retrouvent leakés.
Ryu a 100% raison, c'est -encore- un cheval de troie. On commence à avoir l'habitude, la loi qui interdit de filmer les flics c'était comme seul but de cacher les violences policières. Là encore, le but c'est juste de traquer le citoyen honnête.

MAis quand on voit la réaction de certain, aka "je fais rien de mal, prend mes accès root a toutes mes machines" alors qu'on est sensé être entre professionnels je commence à croire qu'on mérite ce qui nous arrive.
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Avatar de Jules34
Membre expérimenté https://www.developpez.com
Le 16/10/2023 à 9:23
Décidément l'Europe me désespère de plus en plus.
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Avatar de walfrat
Membre émérite https://www.developpez.com
Le 17/10/2023 à 15:05
On ne pèse peut être pas autant qu'on en aurait envie, mais dire que la France pèse rien dans l'Union européenne... c'est se moquer du monde.

Il y a au moins 20 autres pays qui pèse moins, largement moins que la France dans l'UE.
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