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La Russie prévoit des "cyberattaques massives" contre les infrastructures critiques, met en garde l'Ukraine
Et les attaques DDoS sont également susceptibles d'augmenter selon l'avis

Le , par Nancy Rey

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8  1 
Les sites Web du gouvernement ukrainien ne sont pas accessibles, alors que l'Ukraine est bombardée de cyberattaques
dans le cadre de l'invasion russe

Tard dans la nuit de mercredi à jeudi, les troupes russes ont envahi les territoires ukrainiens aux frontières nord, sud et est du pays, donnant le coup d'envoi de la plus grande mobilisation de troupes en Europe depuis une génération. Alors que les médias russes tentent de présenter l'invasion comme une réponse à l'agression ukrainienne, les reportages sur le terrain ont joué un rôle crucial pour contrer la propagande, avec des images provenant à la fois de journalistes professionnels et d'amateurs sur les médias sociaux. Des cyberattaques de grande ampleur ont touché les principaux sites Web du gouvernement ukrainien jeudi matin, alors que des explosions et des tirs ont secoué la capitale Kiev et d'autres grandes villes dans le cadre de cette invasion russe.

Les sites Web des ministères ukrainiens de la Défense, des Affaires étrangères et de l'Intérieur ne répondaient pas ou étaient lents à charger après une série d'attaques DdoS. Les cyberattaques se poursuivent depuis mercredi. Le ministre de la transformation numérique, Mykhailo Fedoro, a déclaré qu'une autre « attaque DDoS massive » avait frappé le pays vers 16 heures mercredi.

Selon des chercheurs de l'entreprise slovaque de sécurité Internet, ESET Research Labs, des centaines d'ordinateurs en Ukraine ont été infectés par un logiciel malveillant Windows, qui efface des données. Dans une série de tweets mercredi, l'entreprise de sécurité informatique a déclaré avoir détecté son premier échantillon du logiciel méchant vers 15 h UTC, mercredi dernier, et pense que le code était en préparation depuis deux mois. « La télémétrie d'ESET montre qu'il a été installé sur des centaines de machines dans le pays », a déclaré l'entreprise.

Le logiciel d'effacement des données est signé de façon chiffrée avec un certificat de développeur légitime, et vraisemblablement volé, afin de persuader les outils antivirus et les utilisateurs de lui faire confiance. Selon ESET, le malware utilise les pilotes d'un programme de partitionnement pour corrompre les périphériques de stockage et détruire les fichiers sur les systèmes infectés. La manière dont le malware est déposé sur les machines des victimes et exécuté n'est pas tout à fait claire pour l'instant, bien que dans un cas, selon ESET, le serveur Active Directory d'une organisation a probablement été compromis pour distribuer le malware à travers le réseau via un objet de stratégie de groupe.


Le service de renseignement sur les menaces de Symantec a également indiqué qu'il avait repéré un malware de destruction de données en Ukraine ; l'entreprise détenue par Broadcom a ajouté qu'elle avait également constaté des infections en Lettonie et en Lituanie. ESET a baptisé le méchant Win32/KillDisk.NCV. Le code ne se contente pas d'effacer les fichiers du disque, il détruit également le MBR, ce qui rend le démarrage et la récupération difficiles ou impossibles par la suite. Cette situation survient alors que plusieurs sites Web ukrainiens ont été perturbés à des degrés divers par des attaques par déni de service et que le Centre national de cybersécurité de Grande-Bretagne a mis en garde contre une nouvelle souche de logiciel malveillant liée au Kremlin, qui semble distincte du malware découvert par ESET et Symantec.

« Pour ce qui est de savoir si le logiciel malveillant a réussi à effacer les données, nous supposons que c'est effectivement le cas et que les machines touchées ont été effacées », a déclaré Jean-Ian Boutin, responsable de la recherche chez ESET. Sans nommer les cibles, il a précisé qu'il s'agissait de « grandes organisations ».

Les pannes d'Internet en Ukraine font craindre une panne générale

Mais à mesure que le conflit s'intensifie, de nombreux groupes de la société civile s'inquiètent de plus en plus de la possibilité d'attaques directes contre l'infrastructure Internet du pays. La Russie a déjà été liée à des attaques DDoS contre des sites gouvernementaux ukrainiens, mais un black-out complet signifierait aller plus loin, utiliser des armes physiques ou cybernétiques pour désactiver l'infrastructure de télécommunications au niveau du réseau et réduire les Ukrainiens au silence dans le processus.
L'invasion a déjà réduit la connectivité Internet dans certaines parties du pays. Les pannes semblent être concentrées autour de Kharkiv, la deuxième plus grande ville d'Ukraine, qui est située dans le nord-est du pays, à environ 40 km de la frontière russe. Le projet IODA (Internet Outage Detection and Analysis) de Georgia Tech a signalé des pannes partielles qui ont commencé juste avant minuit le 23 février et se sont poursuivies dans la matinée du 24 février. Les pannes affectent le fournisseur d'accès à Internet Triolan, qui dessert un certain nombre de villes et de zones en Ukraine, dont Kharkiv.

Message posté sur le site Internet de Triolan ISP


Selon NetBlocks, l'outil de suivi des interruptions de service sur Internet, les utilisateurs de Triolan ont signalé la perte des services Internet fixes, tandis que les téléphones portables continuaient à fonctionner. Un message visible sur le site Web de Triolan jeudi matin informait les clients d'une absence partielle ou totale d'accès dans certaines villes. Les mises à jour publiées sur le canal Telegram officiel de l'entreprise vers 10 heures du matin (heure de l'Est) affirmaient que le service avait été en grande partie rétabli, mais les réponses laissaient entendre que de nombreux clients subissaient encore des pannes de réseau. Jusqu'à présent, les forces russes ont mené un certain nombre de frappes aériennes et terrestres contre des cibles stratégiques à travers l'Ukraine, frappant des centres de commandement militaire et des nœuds de transport, selon les médias ukrainiens ; mais aucune attaque concentrée sur les services de télécommunications n'a encore été signalée.

Toutefois, les défenseurs de l'Internet ouvert craignent que ces perturbations ne soient le signe d'une intention stratégique visant à limiter les flux d'informations en provenance de la région, compte tenu des incidents précédents au cours desquels l'infrastructure Internet a été prise pour cible dans des zones de guerre active. Felicia Anthonio, une militante de l'organisation de défense des droits numériques Access Now, a souligné l'impact des coupures d'Internet dans d'autres zones de conflit dans le monde. « L'infrastructure Internet devient une cible afin de contrôler le flux d'informations et de gagner ou de maintenir le pouvoir pendant un conflit, comme nous l'avons vu avec la destruction de l'infrastructure de télécommunications du Yémen en raison des frappes aériennes menées par l'Arabie saoudite. Les coupures d'Internet en période de crise, de conflit et de troubles rendent difficile pour les journalistes et les défenseurs des droits de l'homme d'obtenir des informations vitales dans et hors de ces régions et pour les gens d'accéder à des informations cruciales qui peuvent avoir un impact sur leur sécurité », a déclaré Anthonio.

Si une telle coupure avait lieu, il ne fait aucun doute qu'elle profiterait à la Russie, du moins à court terme. Au début de l'invasion, de nombreux chercheurs partageant sur Twitter des vidéos générées par les utilisateurs dans la région ont vu leur compte suspendu, ce que Twitter a imputé à une erreur de modération. Et si les perturbations d'Internet se généralisent, le risque de violations des droits de l'homme augmente, selon les militants. « Lorsque l'Internet est coupé en temps de crise, nous recevons souvent des rapports sur des violations des droits de l'homme perpétrées contre la population par des acteurs étatiques et non étatiques. Mais sans accès à Internet, il est plus difficile de les corroborer et c'est souvent le but », a déclaré Anthonio.

Dans un contexte plus large, la Russie a envahi cette semaine une zone de l'est de l'Ukraine, prétextant une mission de maintien de la paix visant à protéger deux régions séparatistes de l'Ukraine. Cette action a déclenché de nouvelles sanctions américaines contre Moscou. L'Oncle Sam a averti les entreprises et organisations américaines qu'elles devaient se préparer à des cyberattaques de la part de la Russie en représailles à ces sanctions et à l'opposition de la Maison-Blanche à l'intrusion du président russe Vladimir Poutine en Ukraine. Il est à craindre qu'une invasion complète ne s'ensuive, car la Russie a rassemblé des troupes près de la frontière ukrainienne. Les sites Web et les systèmes de l'Ukraine ont été pris pour cible et perturbés par des mécréants au cours des dernières semaines, dans un contexte de tensions croissantes et de rupture de la diplomatie.

Source : Twitter (1, 2)

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Voir aussi :

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Avatar de virginieh
Membre expérimenté https://www.developpez.com
Le 29/10/2022 à 21:34
Citation Envoyé par OrthodoxWindows Voir le message
Pour ma part, j'ai de nombreuses expériences de réussite, mais aussi d'échec de l’homéopathie, et cela est totalement corrélé par les dilutions utilisées ; il m'ait déjà arrivé de me tromper de produit par hasard (donc, sans m'en rendre compte), et de constater une inefficacité complète AVANT de me rendre compte de l'erreur. L'effet contextuel est vraiment puissant.
J'ai l'impression que tu comprends pas ce qu'on dit quand on dit que l'homéopathie n'est pas un traitement : tu le dis toi même il y a des fois où le fait d'en avoir pris fonctionne et d'autre fois non.
Ce qui a été testé c'est le taux de réussite de l'homéopathie (donc le rapport fonctionne/fonctionne pas) avec celui d'un placebo, et ce taux de réussite n'est pas meilleur. Parce que les patients à qui ont donne un placebo (un produit qu'on leur dit être un médicament mais qui ne contient aucun actif) se remettent parfois de leur maladie.
Pour qu'un traitement soit considéré comme efficace il faut qu'il est un meilleur taux de réussite qu'un placebo.
Ce n'est pas le cas de l'homéopathie.
Quand on dit que l'homéopathie ne soigne pas, ça veut pas dire que personne ne sera jamais guérit par l’homéopathie, c'est juste qu'on sous entends la suite de la phrase : "l'homéopathie ne soigne pas PLUS QU'UN AUTRE PLACEBO"

C'est comme si tu lances un dé en disant "je veux qu'un nombre pair sorte" et que tu arrives à avoir un nombre pair, ça veut pas dire que tu as lancé une formule magique
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Avatar de Jules34
Membre émérite https://www.developpez.com
Le 20/01/2025 à 15:55
Ils étaient trop occupés à diffuser d'autres sources de désinformation ou à limiter certains sujets pour l'administration Biden, l'Union Européenne ou n'importe qui mettrait la main à la poche
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Avatar de noremorse
Membre actif https://www.developpez.com
Le 20/01/2025 à 20:30
LE RÉCIT DE DÉSINFORMATION RUSSE EST-IL RÉEL ? (par David Sacks) Question sérieuse pour les personnes qui se basent sur les faits.


Examinons les preuves :

1) Le récit de la désinformation russe a commencé avec le dossier Steele, un coup monté de la campagne d’Hillary Clinton utilisé d’abord pour salir son adversaire lors des élections de 2016, puis pour saper sa présidence. Il s’agissait d’une fraude créée par un ancien officier des services de renseignement britanniques. Les médias grand public ne se sont jamais excusés de l’avoir promu.

2) Ensuite, Mueller et son équipe de rêve de procureurs démocrates ont passé 2 ans et 32 ​​millions de dollars à traquer la campagne Trump pour collusion avec les Russes. Les médias ont rapporté à tue-tête que « les murs se refermaient » mais cela s’est avéré être un échec lorsque Mueller n’a trouvé aucune collusion.

3) Ensuite, les fichiers Twitter ont révélé que le tableau de bord de Hamilton68 était une fraude. Rappelons que Hamilton68, créé par d’anciens membres du renseignement américain, était la source de milliers d’articles de MSM affirmant que des robots russes étaient engagés dans des campagnes de désinformation sur les réseaux sociaux. Les robots russes auraient diffusé des termes comme « État profond » ou des hashtags comme #FireMcMaster , #SchumerShutdown , #WalkAway , #ReleaseTheMemo , #AlabamaSenateRace , #ParklandShooting , et bien d’autres. De l’aveu même des employés de Twitter, qui ont pu voir que les comptes sous-jacents étaient réels et non russes, c’était « des conneries ».

4) Ensuite, 51 anciens agents des services de renseignement ont été démasqués comme menteurs pour avoir signé une lettre affirmant que l'ordinateur portable de Hunter Biden était de la désinformation russe. En fait, l'ordinateur portable était réel. Mais l'épisode a montré à quel point le récit de la désinformation russe était profondément ancré. Sans aucune preuve, les anciens espions ont pu faire passer sous silence une importante série de révélations sur les transactions commerciales de la famille Biden simplement en utilisant les mots « désinformation russe ».

Conclusions :

Est-ce que je crois que le gouvernement russe ment ? Bien sûr. Tous les gouvernements le font, et le gouvernement russe ne fait certainement pas exception. Mais est-ce que je crois que les Russes mènent des campagnes secrètes à grande échelle pour influencer l’opinion publique américaine ? Je n’ai pas encore vu de preuves significatives pour étayer cette conclusion.

Au contraire, de nombreux éléments montrent que ce récit a été inventé par des partisans américains motivés pour mettre en cause à tort l’opposition. Comme dans le cas de l’ordinateur portable de Hunter Biden, ils l’ont invoqué lorsqu’ils avaient besoin de se distraire d’une histoire par ailleurs irréfutable.

Le fait que tant de membres de la communauté du renseignement américain aient été impliqués dans la création de ce récit – et qu’ils aient été pris en flagrant délit de mensonge en l’invoquant – laisse penser que ce récit est en soi une sorte de campagne de désinformation.

Le fait que les médias grand public continuent d’y adhérer et de le diffuser, sans preuve, démontre la puissance de la matrice narrative dans laquelle nous vivons. Il est important pour ceux d’entre nous qui souhaitent avoir des débats politiques honnêtes aux États-Unis de se débarrasser des étiquettes maccarthystes utilisées pour protéger le récit de désinformation russe des critiques évidentes fondées sur des faits et de l’appeler ce qu’il est : un canular.

Mensonges et désinformations des occidentaux sur la guerre en Ukraine (par Chay Bowes)

L’une des plus grandes tromperies de l’Occident est que les États-Unis n’ont commencé à « soutenir » l’Ukraine qu’après que les troupes russes ont finalement traversé la frontière en février 2022.

La ligne de « l'invasion non provoquée » est continuellement colportée par les médias clients de l'Occident, alors examinons les faits et décidons ensuite si les actions de la Russie étaient effectivement « non provoquées ».

La vérité est que dès les années 1940-1950, la CIA a établi des « contacts étroits » avec l'Organisation des nationalistes ukrainiens (OUN) et l'Armée rebelle ukrainienne (UPA), deux groupes de collaborateurs nazis brutaux (now largement célébrés comme des héros dans l'Ukraine du dictateur Zelensky) et auteurs de massacres indescriptibles de Juifs, de Polonais et de Russes aux côtés de leurs alliés nazis pendant la Seconde Guerre mondiale.

La CIA leur a fourni des armes, de l'argent, du soutien et une formation dans le but de déstabiliser l'Ukraine et de promouvoir l'ultra nationalisme ukrainien.

Puis, dans les années 1950, la CIA a lancé « l'opération Aérodynamique », qui visait à soutenir les réseaux néo-nazis de Banderite en Ukraine, aboutissant en 1953 à la création par la CIA d'une unité spéciale appelée « Unité 2245 » pour capturer et analyser le matériel militaire russe en utilisant les Banderites antisémites et meurtriers pour faire leur sale boulot.

Au cours des années 1950-1960, la CIA a infiltré des ultra-nationalistes ukrainiens et a accru son soutien à leurs opérations terroristes en Ukraine. Ces opérations se sont poursuivies jusqu'aux années 1970, lorsque la CIA a mené des opérations de propagande noire en Ukraine et a apporté son soutien à des groupes antirusses de toute sorte, quelles que soient leurs méthodes ou leur penchant pour le meurtre et le terrorisme.

Au cours des années 1980 et 1990, la CIA a continué à soutenir les groupes nationalistes ukrainiens et à fournir des renseignements sur les activités militaires soviétiques en Ukraine, tentant d'utiliser des groupes néo-nazis pour des opérations de sabotage et de terrorisme dans le pays.

Dans les années 1990, avec l'effondrement de l'Union soviétique, la CIA a réorienté ses efforts vers le soutien à la transition de l'Ukraine vers la « démocratie » et a dépensé des centaines de millions d'argent noir pour contrer l'influence russe en finançant la corruption et en déstabilisant des groupes politiques et des médias légitimes.

2014-présent : Suite à l'action de la Russie en Crimée en réponse au coup d'État de Kiev soutenu et planifié par la CIA, et au renversement illégal du président légitime de l'Ukraine qui s'en est suivi, la CIA s'est lancée dans une vaste opération complexe avec le redoutable service de sécurité ukrainien SBU, en l'aidant à planifier des opérations telles que l'assassinat de femmes journalistes non armées, le ciblage de politiciens et de fonctionnaires russes dans le Donbass et à Lougansk et d'innombrables autres actions qui, si elles étaient menées contre un allié américain, seraient immédiatement classées comme terroristes.

Contrairement à ce que racontent les otano-kieviens, l'Ukraine a déjà perdu la guerre face à la Russie.
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Avatar de noremorse
Membre actif https://www.developpez.com
Le 20/01/2025 à 20:53
Opération Mockingbird : quand la CIA contrôlait les médias

Écoutes de la NSA, surveillance des réseaux sociaux, fausses accusations de collusion entre Trump et la Russie (Russiagate), étouffement, à la veille des élections de 2020, des révélations explosives contenues dans le pc portable d’Hunter Biden…

Derrière ces scandales se profile, ravivant la rumeur persistante d’un État dans l’État, l’ombre des renseignements américains. Dernièrement, Robert Kennedy a provoqué l’ire des gros médias de grand chemin en déclarant : “L’Opération Mockingbird est belle et bien vivante.” Opération Mockingbird (oiseau moqueur), le mot est lâché ! Il désigne l’opération de la CIA, une des plus controversées de son histoire, révélée en 1975 par la commission Church. Son objectif ? Manipuler les médias américains et étrangers au profit des États-Unis. (https://www.ojim.fr/operation-mockin...it-les-medias/)

CIA's use of journalists and clergy in intelligence operations
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Avatar de marsupial
Expert éminent https://www.developpez.com
Le 22/08/2024 à 18:18
Partagez-vous les avis selon lesquels la guerre entre la Russie et l’Ukraine n’a rien de nouveau en ce qu’elle ramène juste en surface des cas d’utilisation perverse de la technologie que l’on a tendance à négliger au quotidien ?
Dans l'ensemble, pour nous, cela paraît à peu près évident, mais pour monsieur-tout-le-monde, c'est du chinois. Et que lui dire si ce n'est d'en laisser le moins possible sur son smartphone ? Le cloud ? Et comprendra-t-il notre conseil ? Même en lui expliquant patiemment ?
Aujourd'hui, plus de 27 000 personnes sont suivies en France et font l'objet de la nouvelle loi sur les moyens de renseignement (source lefigaro.fr) qui, au début, temporairement, comme l'état d'urgence, promis juré, ne devaient être utilisé que dans les cas de terrorisme. Maintenant, il s'agit du grand banditisme et de la criminalité.

Et demain ce sera quoi ? Certainement pire pour masquer l'incompétence derrière du bruit technologique et liberticide. Alors profitons du soleil du jour présent. Demain il pleut.
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Avatar de Anselme45
Membre extrêmement actif https://www.developpez.com
Le 22/08/2024 à 19:50
La Russie devrait aussi demander aux USA de débrancher leur satellites espions
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Avatar de _toma_
Membre éclairé https://www.developpez.com
Le 22/08/2024 à 22:16
J'ai arrêté de prêcher dans le vide depuis longtemps sur la question des données personnelles et des impacts de la technologie.
Le retour de bâton sera inévitable et y'a des chances pour qu'il soit violent.
Je sais pas si ça fera réfléchir les gens ("bah si les ukrainiens peuvent le faire, n'importe qui d'autre peut aussi le faire...") mais en tout cas c'est une communication officielle que je trouve plutôt cocasse.
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Avatar de Aiigl59
Membre actif https://www.developpez.com
Le 24/01/2025 à 1:44
Il y a une erreur dans le titre, au lieu de :
"Les campagnes de désinformation russes ont échappé aux efforts de Meta pour les bloquer" il faut lire
"Les campagnes d'information russes ont échappé aux efforts de Meta pour les bloquer"
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Avatar de Jean GVE
Membre habitué https://www.developpez.com
Le 24/01/2025 à 9:19
Les «campagnes de désinformation» quelle que soit l'origine, sont définies par les Étasuniens… et bizarrement ces campagnes viennent des concurrents commerciaux ou des pays dont les dirigeants n'obéissent pas à Washington !
Et bien sûr, nous, tous les vassaux, ON raconte la même chose…
ALORS !……
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Avatar de pmithrandir
Expert éminent https://www.developpez.com
Le 28/09/2022 à 17:16
Qu'il serait peut être prudent d avoir un peu de réserve cet hiver. 3-4 jours de conserves et de bougies pour parer une attaque russe qui viendra sûrement
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